“[N]ous ne devons pas rester silencieux sur le cas d’Hassan Diab, un citoyen canadien et professeur d’Ottawa, qui fait face à une condamnation en France pour un crime horrible pour lequel aucune preuve crédible n’a été présentée contre lui…
Les éléments de preuve présentés contre Diab qui prétendent le lier à ce crime en tant que principal suspect ont été entièrement discrédités par un tribunal canadien. Le juge qui a présidé aux audiences d’extradition au Canada a qualifié les éléments de preuve contre Diab de «très confus», «très problématiques», «alambiqués», avec des «conclusions suspectes», et il a déclaré que « les perspectives de condamnation dans le cadre d’un procès équitable semblent peu probables. » Toutefois, en raison de la loi d’extradition inéquitable du Canada, le système judiciaire du Canada a déclaré avoir les mains liées et a permis qu’un citoyen canadien soit extradé vers un pays étranger en l’absence de preuves fiables présentées contre lui…
Diab, qui est né au Liban, est citoyen canadien depuis des décennies, ayant enseigné à l’Université Carleton et à l’Université d’Ottawa avant d’être extradé vers la France. Il était professeur de sociologie et considéré par ses collègues comme une personne chaleureuse et paisible dépourvue de haine. Il a toujours eu une vision laïque et humaniste du monde et il n’a jamais eu une goutte de racisme ou d’antisémitisme dans le sang…”
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